LA MAISON TAK

   Il y a deux cents ans, quand le lapis lazuli était la seule ressource de fabrication pour le fameux pigment bleu outremer, cette couleur était si précieuse que même les grands maîtres comme Michel-Ange se devaient de l’utiliser avec parcimonie. Après l’invention de l’outremer synthétique, ce bleu est devenu universellement disponible, permettant aux artistes d’utiliser cette teinte riche et inimitable afin de produire d’innombrables chefs-d’œuvre. Ainsi, tout comme l'outremer, le progrès technique a finalement réussi à cultiver des merveilleuses pierres précieuses d'une richesse exceptionnelle.

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   Diplômée de la prestigieuse Haute École de Joaillerie de Paris, la directrice artistique de la Maison TAK a travaillé comme artisan-joaillier auprès des maisons les plus prestigieuses de la Place Vendôme durant ces 12 dernières années. Depuis le début de sa carrière, elle n'a cessé de réfléchir à une solution aux nombreux conflits éthiques et environnementaux liés aux pierres précieuses extraites naturellement. Alors qu'elle était fermement attachée à son métier de joaillière, le processus exhaustif d'extraction naturelle était tout simplement contraire à ses principes et ses engagements. Lorsqu'elle a découvert pour la première fois ces gemmes produites par la technique humaine en laboratoire, elle a non seulement été fascinée par leur éclat envoûtant, mais aussi enthousiasmée par les possibilités infinies de création qu'elles offraient. Associées au savoir-faire de la joaillerie française, ces pierres initient une nouvelle voie pour la joaillerie vers un avenir pérenne et plus responsable. C'est ainsi qu'est né la Maison TAK, pionnière de la haute joaillerie éthique.